Les hommes n’ont pas le monopole des métiers de l’ingénierie. L’Association française des femmes ingénieurs dresse un bilan 2010 des fonctions, des secteurs, ainsi que des taux d’emploi des ingénieur(e)s.
Heureuse surprise! Les tendances qui ressortent du rapport indiquent un positionnement plutôt positif des femmes dans les métiers de l’ingénierie, surtout lorsque il est indiqué que celles-ci travaillent en grande partie dans les métiers du tertiaire et des STIC (Sciences et technologies de l’information et de la communication), inhérents au syndicat du Betor Pub.
Mais les point noirs existent, et pas des moindres. Les salaires médians des femmes ingénieurs restent inférieurs à ceux de leurs homologues masculins. La situation familiale des femmes implique de facto le recours au travail à temps partiel. De plus, la probabilité d’accéder aux postes de directions se réduit comme peau de chagrin au fil du temps, les femmes ingénieurs occupant des postes à dominante technique.
A la lecture du document émis par l’association, quel est votre point de vue sur la synthèse? Vous parait-il cohérent avec la réalité du terrain, au sein par exemple de votre entreprise? Adhérents du Betor, c’est à vous de prendre la parole!